"Eu acredito em você. E você?"
(je crois en toi. Et toi?)
Le carnavalesque Cahê Rodrigues fera donc lors du défilé un hommage à tout ce que les hommes ont su surpasser à travers l’histoire.
Toutefois, pendant la parade il est prévu de ne rien mettre en scène rappelant le drame de cette année.
L’enredo sera officiellement lancé aujourd’hui dans la quadra de l’école.
synopsis à la suite:
Eu Acredito em Você! E Você?
”A nossa maior glória não reside no fato de nunca cairmos, mas sim, em levantarmo-nos depois de cada queda.” (Confúcio). Não me peça para desistir. Acredito, sigo em frente porque só sei caminhar! Não me desanimo: caio, levanto, a volta por cima hei de dar. A força não está em mim: Para quem do céu herdou a promessa, a vitória é coisa certa; a questão é esperar. Por entre nuvens os anjos se puseram a anunciar: ”não te desespera”, não deixa o desânimo tomar conta de ti, tira os olhos das dificuldades e coloca-os em mim.
Com a palavra, o céu desce a terra. Das alturas, rica fonte de entusiasmo: a direita do pai, a me guiar, aquele que ao enfrentar o adverso, foi grato exemplo da importância de aprender a superar. Com os olhos fitos nos céus, sinto o calor luminoso que rompe a barreira das nuvens que outrora foram de tempestade. Me banho junto às águas de bonança que seguem após a revolta das marés. Me conforto, ganho ânimo, e um novo carnaval assim eu faço: tudo o que renasce com maestria, todo aquele que enfrenta e vence o que lhe desafia, faz crescer o que imagino, para construir um carnaval.
Na perda do amor que se foi, faço hora para o que virá. Se a saúde fizer despedida, espero ela voltar. Não há medo, vício, ou preconceito, que eu não possa enfrentar.Enfrento a perda e a dor, venço o medo com sabedoria, rimo a piada com o que não tem graça, lhe conto um conto, de sabedoria popular: Não tema o que lhe parece ”maior”, não te desespere diante ao que lhe parece impossível. Precisamos, dia-dia, enfrentar e derrubar nossos temidos gigantes!
Por isso vos digo como exemplo a lhe ofertar: Se o som for sepultado em meus ouvidos, faço melodia e canção no silêncio que habita a imaginação. Se na escuridão meus olhos me lançarem, solto a voz para a multidões, faço do canto, luz para iluminar.
Quando a dor me castigar, faço dela o incentivo para o entalhe mais perfeito da beleza de um altar. Se pobre eu nascer, se a vida me bater, se a dor me esmagar; abro sorriso ao adverso, luto de peito aberto, para as luzes da ribalta me consagarar! Se a vida me testar, tirar-me o que julgo precisar, se a firmeza das mãos me faltar, o dom de Deus resplandecerá e uma orquestra surgirá.
Na busca por superar, topo aceitar o desafio: Vou suar a camisa, correr distancias longas, meu corpo está posto a prova; certamente, eu chego lá! Quero um lugar no pódio, quero os louros da vitória, quero mérito por superar. Cambaleei, enverguei, não desisti, e exemplo me tornei!
Na luta pela conquista, sou herói, sou atleta! Recebo sopro divino, corro em linha reta, corro atrás de bola, um fenômeno surgirá. Alço as velas do meu barco e lavo minhas dores nas águas do azul que tinge o mar. Em águas cristalinas nado com a força de um tubarão, faço o mundo avançar em braçadas. Saltando próximo as nuvens, com os pés no chão, ou sobre rodas, o que me guia é a superação!
Na história do homem sobre a terra, exemplos ei de dar: Quando um homem ajuda um homem, não há dor coletiva que ele não possa se curar. Avança o dia, avança a noite. Corre o tempo, a tristeza fica pra trás. O que se expandiu junto a uma manhã que explodiu, hoje é a pagina virada, ”rosa desbotada”, que ninguém mais viu.
O que se destruiu, se reconstruiu. Onde o ”preto” não era ”branco”, onde o ”branco” não era ”preto”, levantou-se a voz da nova ordem a anunciar a união. Dando a mão a um irmão, tijolo por tijolo, lágrima por lágrima, erguemos um bem precioso, reconstruímos uma Nação.
O vento sopra a bandeira verde e amarela e faz o exemplo de seus filhos brilharem em nossos olhos. São ”Joãos”, ”Marias”, ”Silvas”, ”moleques” que correm descalços, trabalhadores do asfalto, gente que luta, gente que vence. São mulheres que rompem as barreiras das limitações. São homens que vencem a ”seca” e o ”pau de arara”, para ocupar, quem sabe, o mais alto posto no comando da Nação. Jovens que ultrapassam os barracos da cidade. Mães que fazem da luta prova de superação. Homens e mulheres que levantam a poeira do chão, guerreiros que batem samba na palma da mão; a baiana que gira, o sorriso da velha-guarda, o Passista que risca o chão, a Bateria quer marca o pulsar do coração, ”gente que enverga mas não quebra”, gente que vem a ser o siginificado mais claro e puro para o nome SUPERAÇÃO!
Cahê Rodrigues – Carnavalesco
Pesquisa e texto: Leandro Vieira, Lucas Pinto e Cahê Rodrigues
Version française traduite automatiquement:
« Notre plus grande gloire ne réside pas en fait jamais tomber, mais en se levant après chaque chute. » (Confucius). Ne me demandez pas d’abandonner. Je crois, passer parce qu’ils ne savent marcher! Je désespère pas: tomber, se relever, se tourner que je donne. La force n’est pas en moi: Pour ceux qui ont hérité de la promesse du paradis, la victoire est certaine, la question est à attendre. Pour les nuages les anges ont commencé à proclamer: «ne pas désespérer», ne laissez pas le découragement prendre soin de vous, de prendre ses yeux les difficultés et les met sur moi.
Avec le mot, le ciel sur terre. Depuis les hauteurs, une riche source d’enthousiasme: le droit du père pour me guider, qui face à des conditions défavorables, par exemple a été reconnaissante de l’importance d’apprendre à surmonter. Avec les yeux fixés sur le ciel, je sens la chaleur de la lumière qui brise la barrière de nuages qui étaient une fois la tempête. Je baigne dans les eaux de la prospérité qui suivent, après la révolte des marées. Me consoler, donner du courage, et un carnaval de nouvelles donc je le faire: tout ce qui renaît avec une grande habileté, et celui qui gagne est confrontée au défi elle, pousse à imaginer, à construire un carnaval.
La perte de l’amour qui est allé, le temps de faire ce qui va venir. Si la santé vous quittant, je l’espère, elle revient. Il n’y a aucune crainte, les habitudes ou des préjugés, je ne peux pas la perte enfrentar.Enfrento et la douleur, vaincre la peur avec des connaissances, on rit de ce que la plaisanterie n’est pas drôle, je vous dis un conte de sagesse: Peu importe ce que vous pensez que «la plupart», ne désespérez pas quand cela paraît impossible. Nous avons besoin de jour en jour, le visage et laisser tomber nos géants redoutables!
Pourquoi je vous dis offrant un exemple: Si le son est enterré dans mes oreilles, je la mélodie et le chant dans le silence qui habite l’imagination. Si l’obscurité, je lance mes yeux, perdent leur voix à la foule, Je chante, lumière pour éclairer.
Lorsque la douleur me punir, lui faire l’incitation à cran beauté plus parfaite d’un autel. Si je suis né pauvre, si la vie m’a frappé, écraser moi si la douleur; sourire franc à la tête de chagrin défavorable sur la scène consagarar moi! Si la vie me tester, me faire ce que je pense vous avez besoin, si la force des mains me manquent, le don de Dieu et briller un orchestre apparaît.
En cherchant à surmonter le défi du haut: Je suis une goutte de sueur, courir de longues distances, mon corps est mis à l’épreuve, sûrement, je vais y arriver! Je veux une place sur le podium, je veux les lauriers de la victoire, je veux de crédit pour surmonter. J’ai décalés, enverguei, renonce pas, je suis devenu et l’exemple!
Dans la lutte pour gagner, je suis le héros, je suis un athlète! Recevez souffle divin, courir droit, courir après le ballon, un phénomène apparaît. Alco voiles de mon bateau et me laver la douleur dans les eaux de la teinte bleue de la mer. Nagez dans les eaux cristallines de la force d’un requin, faire des longueurs dans le monde avant. Rebondissant sur les nuages, les pieds sur le sol ou sur roues, qui me guide est de surmonter!
Dans l’histoire de l’homme sur la terre, je vais donner des exemples: Quand un homme aide un homme, il n’ya pas de douleur collective qu’il ne peut pas guérir. L’avance le jour, la nuit avance. Exécutez le temps, la tristesse à la traîne. Ce qui a étendu le long d’une matinée qui a explosé aujourd’hui est de tourner la page », rose délavé », vu que personne d’autre.
Quel a été détruit, a été reconstruite. Où « Noir » n’était pas « blanc », où « blanc » n’est pas « noir » a augmenté la voix du nouvel ordre d’annoncer l’union. Donner un coup de main à un frère, brique par brique, déchirer par les lacrymogènes, nous élevons une denrée précieuse, nous reconstruisons une nation.
Le vent souffle le drapeau est vert et jaune et l’exemple de leurs enfants briller dans nos yeux. Ils sont «Johns», «Marie», «Argent», «garçons» qui courent pieds nus, travailleurs de l’asphalte, les gens qui se battent, les gens qui gagnent. Ce sont les femmes qui briser les barrières de leurs limites. Ce sont des hommes qui gagnent le «sec» et «rack» à occuper, peut-être la plus haute fonction en charge de la nation. Les jeunes qui enfreignent les cabanes de la ville. Les mères qui luttent pour surmonter la preuve. Les hommes et les femmes qui élèvent la poussière de la terre, les guerriers de samba battre dans la paume de la main, qui tourne la Bahia, le sourire de la vieille garde, le danseur se gratter le sol, la marque de la batterie ou le battement de cœur, «les gens qui plie mais ne rompt pas », les gens qui viennent d’être beaucoup plus claire et pure pour le nom de VAINCRE!
Carnavalesque: Cahe Rodrigues
Recherche et rédaction: Leandro Vieira, Lucas Rodrigues Pinto etCahe Rodrigues
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